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UNE BONNE ANNÉE 2021… VRAIMENT ?

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2020 a été une année difficile à bien des égards. Et même si l’on a tendance à penser qu’une nouvelle année sonne l’heure du renouveau, rien de ce qui s’est passé auparavant n’a été effacé et aura même tendance à se poursuivre en 2021… sans doute en pire. Oui, je sais, une entrée en matière peu positive pour vous souhaiter une…

BONNE ANNÉE 2021

Mais même si j »espère le meilleur pour vous en ce début d’année 2021, il me semble important de faire un point de la situation auquel nous sommes aujourd’hui confronté.

Depuis deux ans nous assistons à un niveau de violences – autant policières que sociales et politiques – jamais vue auparavant. Si vous pensez vivre dans un pays libre et démocratique, détrompez-vous : nous vivons désormais dans un pays autoritaire où on nous laisse encore quelques libertés… mais c’est tout.

Même si on peu avoir la vision d’une situation actuelle chaotique du fait d’une pandémie mondiale liée à un virus potentiellement mortel, je pense que ce dernier n’est qu’un prétexte pour faire passer des mesures qui ne tendent qu’à un seul but : faire tenir – à tout prix – un système qui ne fonctionne plus.

Entendons nous bien, je ne suis pas en train de dire que les morts liés au covid19 ne sont pas grave, mais force est de reconnaître que la « crise sanitaire » n’est qu’un prétexte pour continuer à détruire des libertés et des acquis sociaux.

Pandé… quoi ?

Même si la première vague a été une surprise pour beaucoup – liée essentiellement au fait qu’il s’agissait d’un virus pour lequel on avait aucun traitement et donc face auquel on ne savait tout bonnement pas quoi faire -, les chiffres nous permettent de relativiser beaucoup de choses. Sur la situation « réelle ».

Déjà, même s’il existe une polémique sur le nombres de décès en France comptabilisé comme étant lié au Coronavirus, le taux de létalité est bien moindre que de nombreuses autres maladies. Allez voir ce comparatif sur les maladies infectieuses dans le monde et vous comprendrez que vous avez plus de chance de mourir du choléra que du Covid…

Mais pour revenir au coeur du problème, lorsque je parle de système, je pense à deux éléments en particulier :

Un système politique désormais dépassé et dans lesquels des femmes et hommes politiques prennent des décisions non pour le bien de tous mais pour leur propre intérêts et celui de ceux qui les ont mis en place.

Un système économique, le capitalisme et le néo-libéralisme, qui tend, de plus en plus vers fonctionnement prédateur et destructeur au mépris des besoins réelles des populations et des intérêts écologiques.

Dans ce cadre, les décisions prises sous prétexte d’une « crise sanitaire » ne sont pas motivées par la santé de la population mais ont pour seul et unique objectif de faciliter la mise en place de lois, décrets et autres décisions arbitraires liberticides et anti-démocratiques.

Petite aparté… Si les décisions durant cette crise étaient vraiment prise pour le bien des populations, il y a peut de chance qu’un pays comme la France peuplé de 67 millions de personnes, se retrouvent dans le top 5 des pays ayant les plus forts taux d’infection au Coronavirus après les État-Unis (333 millions d’habitants), l’Inde (1,3 milliard), le Brésil (207 million), et la Russie (157 millions d’habitant). C’est dire à quel point les décisions prises ont été et sont contre productive.



Une destruction systématique des libertés

Alors voyons ce que nous a apporté l’année 2020 – en prévision de 2021 – en matière d’attaque de nos droits fondamentaux :

D’abord, c’est désormais par le biais d’un Conseil de défense que sont prise les décisions concernant… et bien beaucoup plus de choses que celles relatives à la crise sanitaire. En d’autres termes, il n’existe désormais plus aucune concertation ni débat politique sur les choix fait par le gouvernement.

Parallèlement à cela nous assistons :

– à la destruction des acquis sociaux et des protection sociales de bases comme le chômage, la retraite et la protection santé.

– au muselage de la liberté d’expression au travers des violences contre ceux qui manifestent mais du baillonnage de la liberté de la presse et du droit à l’information.

– à une tentative de contrôle des accès à la connaissance au travers des décisions touchant, notamment, les universités mais également l’ensemble du système éducatif.

– à la destruction du tissus économique , notamment les petits commerces, des restaurants, des bars…

– à un blocage sur le monde de la culture avec la fermeture des salles de cinéma, des théâtres, et l’annulation des différents festivals et autres événements festifs.

Et la liste augmente chaque jour ! Je n’ai pas parlé de la futur réforme du Conseil Constitutionnel qui ne présage rien de bon, les croisements de fichiers sur les individus qui, jusqu’à présent ne pouvait pas être croisé, etc.

Bien sur, certains me diront que tout cela est fait pour prévenir l’épidémie. Sauf que les mesures visent essentiellement l’ensemble des activités qui ont été déjà considérés par les autorités médicales comme étant les moins à risques et qui ont été, au sortir du premier confinement, les activités qui ont le mieux régulés leur propre fonctionnement.

Au final, le schémas est simple : contrôler au mieux la façon de penser et d’agir de chaque individu afin de réduire et même interdire toute forme de contradiction ou contestation possible. A l’horizon une société dans laquelle vous n’aurez plus qu’à travailler, consommer et vous la fermer…

Oui, mais que faire en 2021 ?

Devant ce portrait anxiogène, pouvons-nous vraiment faire quelque chose ?

A mon sens, trois voie son possibles pour ceux qui veulent agir :

– Évidemment il y a la voie des urnes. Et même si elle ne fait qu’employer un système qui s’auto-légitime par ce biais, elle reste un moyen d’essayer de faire changer les choses.

– Continuer de manifester, de sortir faire entendre sa voie et ne pas se laisser dominer par la peur que tente de nous instiller nos chers gouvernants.

– Se construire son rempart personnel, notamment financier permettant de se dissocier plus facilement des contraintes du système qui se met en place actuellement.

Et bien sur les trois combats doivent être menés de front que se soit en 2021, mais également pour les année suivante.. En tout cas, sur 1,2,3… Richesse nous essaierons, tout au long de l’année 2021 de vous aider sur la construction axe.

En attendant nous espérons que vous continuerez à nous suivre tout au long de cette année.

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