Si vous cherchez à atteindre l’indépendance financière ou plus simplement, améliorer votre budget ou votre situation financière personnelle, alors le crédit est LE grand piège à éviter. Et si vous en avez contracté un ou plusieurs alors mieux vaut d’abord les comprendre pour ensuite s’en débarrasser. Pourquoi ? Comment ? Quel type de crédit est le plus dangereux ? 1,2,3… Richesse vous explique le crédit sous toutes ses formes.
SE DÉBARRASSER DEFINITIVEMENT DE SES CREDITS : LE TYPE DE CRÉDIT (1/2)
Sur le chemin de la richesse et de l’indépendance financière, il existe un piège qu’il faut à tout prix (sans jeu de mot ! ) éviter : le crédit !
Si vous n’en avez pas, ne changez pas de conduite, car le mieux pour ne pas en subir les conséquences… c’est justement de ne pas en avoir ! Alors fuyez le crédit, les prêts ou les emprunts comme la peste.
Mais si vous en avez un, il vous empoisonne surement la vie ! Si vous en avez plusieurs, ils peuvent devenir très vite un enfer et vous amener peu à peu au surendettement. Heureusement, il existe des méthodes pour sortir tout doucement de cette spirale infernale qui finira par couler votre budget.
C’est ce que nous allons voir ici. Mais, pour commencer il faut déterminer quelle forme de crédit vous avez contracté et la façon dont il fonctionne. En effet, comprendre quel type de crédit est présent dans notre budget permettra de mettre en place une stratégie adaptée pour pouvoir s’en débarrasser…
Crédit, crédit, crédit…
Le crédit est une somme d’argent (le capital) qui est mise à disposition d’un emprunteur (le débiteur) par un ou des prêteurs (le créancier) pour un temps donné.
A l’échéance, la somme prêtée doit être remboursée auprès du créancier avec, en plus, le paiement d’une rémunération supplémentaire (les intérêts).
Ainsi, un contrat de crédit comporte, au minimum, trois éléments :
1 – La somme empruntée.
2 – Le taux d’intérêts qui va s’appliquer.
3 – Le coût total , c’est à dire le montant emprunté auquel s’ajoute les intérêts dû.
En général, le remboursement du crédit s’effectue selon des échéances prévues à l’avance (souvent sous la forme d’une mensualité) avec des remboursements réguliers jusqu’à ce que ceux-ci atteignent la somme empruntée plus les intérêts.
Ces derniers peuvent être plus ou moins important en fonction du taux de crédit (le taux d’intérêt). Plus le taux est élevé, plus les intérêts sont importants. Normalement ce taux ne varie pas – taux fixe – mais il existe des contrats faisant varier le taux d’intérêts en fonction de la conjoncture : ils sont à fuir absolument !
Mais, à cela s’ajoutent d’autres frais qui vont encore augmenter le montant des sommes à rembourser. En effet, les organismes de crédit ajoutent en plus des frais de dossier, des frais de garantie et éventuellement une assurance emprunteur qui vont gonfler, parfois artificiellement, le montant total à rembourser.
Bref, vous l’avez compris, mis à part pour des cas spécifiques, le crédit peut se résumer à ceci :
« Emprunter de l’argent vous coûtera encore plus d’argent… »
Pour éviter le piège, mieux vaut alors connaître le type de crédit auquel on a affaire.
Les types de crédit : fonctionnement
Il existe une multitude de type de crédit. La plupart sont évidents mais certains sont de véritables pièges qui vous endetteront sans même que vous vous en rendiez compte.
Du point de vue juridique, il n’existe que trois catégories de crédit pour les particuliers qui dépendent essentiellement de l’objet ou du service financé :
– Le crédit immobilier qui permet de financer l’acquisition de biens immobiliers.
– Le crédit de trésorerie qui permet de faire face à des problèmes de liquidités ou de solvabilité.
– Le crédit à la consommation qui concerne… un peu tout le reste.
Pour simple quelle soit, cette classification mélange des catégories de prêts dont le niveau de « danger » (essentiellement lié au taux d’intérêts) varie.
Par exemple, un prêt étudiant sera placé dans les crédits à la consommation. Pourtant, son impact sur votre budget ne sera pas le même qu’un crédit renouvelable qui vous conduira peu à peu vers un endettement maximal.
Il est donc possible de les différencier plutôt en en cinq catégories classées, de façon assez subjective, en niveau de danger :
– Le crédit immobilier. Le moins dangereux.
– Le prêt personnel. Moyennement dangereux.
– Le crédit affecté. Dangereux.
– Le crédit de trésorerie. Très dangereux.
– Le crédit à la consommation. Carrément à éviter.
A cela s’ajoute une catégorie un peu à part : le crédit gratuit ! Oui, vous avez bien lu. Il sera détaillé en fin d’article, mais ne vous leurrez pas car il ne s’agit pas d’un emprunt avec de l’argent gratuit ! Loin de là.
Commençons donc notre exploration des types de crédit.
Les types de crédit d’investissement
Le crédit immobilier
Que les choses soient claires : le prêt immobilier est le SEUL type d’ emprunt qui, s’il est bien monté, soit valable pour toute personne cherchant à développer son patrimoine ou améliorer ses finances.
Le crédit immobilier permet de financer l’acquisition d’un bien immobilier (maison, appartement, immeuble…) sans posséder, au départ, le capital nécessaire pour l’achat. Ce bien peut avoir plusieurs utilités : soi pour une utilisation personnelle de la personne qui réalise la demande de crédit (qui lui permet de financer ainsi son logement), soit dans le but de louer le ou les biens achetés (investissements immobilier locatif).
Effectivement, il est possible de réaliser un investissement immobilier qui sera financé par le crédit (afin d’acquérir le bien) ; crédit lui-même remboursé par le ou les loyers des locataires.
Sil est vraiment bien monté (ce qui devrait être l’objectif de tout investisseur) les loyers perçus seront supérieurs au(x) remboursement(s) mensuel(s) du crédit, permettant ainsi à l’acheteur du bien de réaliser dès le départ un gain et rendre le crédit amortissable encore plus rapidement.
Ce système peut également se décliner sous la forme d’un cercle vertueux ou chaque bien immobilier loué permet d’augmenter ses propres revenus et par la même son propre taux d’endettement possible, ou plutôt sa capacité d’endettement.
Cette capacité d’endettement permet alors d’obtenir des crédits immobiliers plus facilement mais aussi plus conséquents pour l’acquisition d’un nouveau bien qui, lui même, pourra être loué à son tour… etc.
Par rapport aux autres types de crédit, c’est celui dont le taux est, en général, le plus bas. Par contre sa durée de remboursement sera, quand à elle, beaucoup plus longue (de 10 à 20 ans voire plus).
Il existe un débat, parmi les investisseurs pour savoir si financer son logement est une charge ou un investissement. Mais honnêtement, je crois que c’est surtout une simple question de point de vue. Personnellement, je considère qu’acheter un logement à crédit, c’est un peu comme si vous mettiez l’équivalent d’un loyer chaque mois dans une tirelire. Sauf qu’en l’occurence, la tirelire à la taille du logement !
Crédit-bail ou leasing
Même si le terme est souvent utilisé par les particuliers, il s’agit en fait d’un type d’emprunt qui concerne essentiellement les entreprises.
Une entreprise qui souscrit au système de crédit-bail va, en fait, réaliser, une sorte de location du bien auprès d’une société financière (le crédit-bailleur) qui possède ce bien. A la fin du contrat, l’entreprise bénéficiaire se verra offrir plusieurs options :
– restituer le bien ;
– acquérir le bien pour un montant défini à l’avance :
– renouveler les conditions sous une forme moins couteuse.
Une société peut envisager de passer par ce type de contrat d’investissement plutôt qu’effectuer une demande de crédit parce que, entre autres, le bien ne figure pas à l’actif du bilan de l’entreprise bénéficiaire et surtout parce que les mensualités de redevances sont fiscalement déductibles !
Il existe une version spécifique aux particuliers : la location avec option d’achat mais possédant ces propres réglementation du fait de sa catégorisation en contrat de consommation. Nous la traiterons plus loin dans cet article.
Les différents types de crédit bancaire
Le prêt personnel
Le prêt personnel ou crédit personnel est un type de crédit dont le montant du prêt – le capital – et donc son utilisation ne fait pas l’objet d’une affectation particulière dans le contrat du prêt lui-même. En d’autres termes, l’organisme de crédit vous prête de l’argent à un certains taux d’intérêts et vous pouvez utiliser l’argent comme bon vous semble.
Bon, dans la réalité, il ne suffit pas d’entrer dans une banque ou un établissement de crédit de demander un prêt personnel pour obtenir en retour la somme demandée ! Mais ça vous vous en doutez.
En fait, le prêt personnel entre dans le grands ensemble des prêt à la consommation et doit donc répondre aux conditions légales du code de la consommation : montant inférieur ou égal à 21 500 € pour une durée supérieure à 3 mois.
Parallèlement, l’offre de crédit (c’est à dire le contrat de crédit) doit, obligatoirement indiquer le montant emprunté, le taux effectif global (Taeg), la durée de votre emprunt et, bien sur, les modalités de remboursement.
Taux annuel effectif global ou Taeg : anciennement appelé « taux effectif global » (TEG) c’est le taux d’intérêts (ce que vous allez payer en plus du remboursement de la somme empruntée) qui prend en compte la TOTALITÉ des frais occasionnés par la souscription dudit prêt.
Le crédit affecté
Accordé par les banques ou les établissement de crédit, le crédit affecté est une forme d’emprunt dont l’utilisation est lié – « affecté » – à l’achat d’un bien mobilier ou d’une prestation précise.
Un crédit voiture est l’exemple de crédit affecté le plus parlant.
Il n’est pas considéré comme un crédit à la consommation car le débiteur n’est pas libre d’utiliser la somme d’argent prêtée comme il l’entend. Il doit acheter le bien ou le service pour lequel la somme a été prêté au risque d’annulation du prêt lui-même.
Pour se prémunir de tout risque, l’organisme prêteur ne fournira la somme qu’à la signature de l’offre d’achat. Si celle-ci ne se réalise pas, l’annulation du contrat de crédit est automatique. De plus le remboursement du crédit ne débute qu’à compter de la livraison du bien ou de la réalisation de la prestation de service.
Le crédit de trésorerie ou le découvert autorisé
Le crédit de trésorerie est un terme que l’on utilise essentiellement dans le milieu de l’entreprenariat mais qui pourtant concerne également, comme vous allez le voir, les particuliers.
Il s’agit d’un crédit permettant de faire face – comme son nom l’indique – à des problèmes de trésorerie c’est à dire soit des problèmes de liquidités (vous n’avez pas les sommes nécessaires) ; soit des problèmes de solvabilité (vous n’avez pas la capacité de payer ou de rembourser).
Si ce type de situation financière est admise dans le cadre d’une entreprise – en effet il est admis que des clients puissent vous régler APRÈS que vous ayez engagé les dépenses nécessaires, créant ainsi un décalage sur vos comptes – , elle est cependant très courante chez les particuliers mais beaucoup moins tolérée !
Et vous connaissez, sans en avoir conscience, un type de crédit de trésorerie que votre banque vous « accorde » en cas de problème de liquidité ou de solvabilité. Je veux, bien sur, parler du découvert bancaire. Et oui, le « découvert » est bien un type de crédit ! Et l’un des pires d’ailleurs !
En effet, par le biais du découvert, vous utilisez une somme d’argent que vous ne possédez pas ! Autrement dit votre banque possède bien une créance sur vos revenus car c’est elle qui règle les dépenses engagées sur ses fonts propres. Elle vous octroie donc un prêt que vous devrez rembourser. Et cela, vous allez en payer les frais… dans tous les sens du terme.
Effectivement, les frais de découvert sont ceux qui rapportent le plus aux banques. Et d’ailleurs, ces dernières raffolent des clients régulièrement à découvert mais néanmoins solvables car ils deviennent une véritable manne pour la banque elle-même. En cela, elle participe même à votre endettement !
Pour éviter cette hémorragie interne de votre budget, il n’y a guère d’autres solutions que d’avoir une bonne méthode pour faire ses comptes .
Les différents types de crédit à la consommation
Le crédit à la consommation
Le « crédit conso » est le type de crédit le plus dangereux de tous mais, malheureusement aussi le plus répandu.
Il est accordé par les banques ou des sociétés de crédits afin de financer des biens ou des services. On va y retrouver pêle-mêle :
– Les prêts étudiants (en général octroyés par des banques) mais qu’il faut plutôt placer dans la catégories des prêts personnels, voire même d’investissement.
– Les prêts automobile (pour acheter un véhicule), qui est une forme de crédit affecté.
– Les crédits proposés par les grandes enseignes pour acheter des biens d’équipement (télévision, électroménager, etc).
– Les prêts accordés par les fournisseurs de crédits à la consommation (Cetelem, Cofinoga, Cofidis, etc.).
– Mais aussi les « réserves d’argent » ou encore les cartes de fidélité des grands magasins (qui bien souvent comprennent automatiquement une « réserve d’argent »).
Vous constaterez qu’un certains nombre d’entre eux ont déjà été cité dans d’autres catégories de prêts et d’emprunts. Comme nous l’avons expliqué en première partie de cet article, c’est différence est simplement dû au fait que ces derniers sont considérés, du point de vue légal, comme relevant du code de la consommation.
Mais cette classification ne tenant pas compte d’un degrés de danger par rapport à vos finances, nous les avons séparés ici afin de les placer sur une échelle – subjective – de « dangerosité ».
Cependant n’en restez pas là. Chaque type de crédit à sa raison d’être et dépend de votre situation. D’où l’importance de bien les connaître pour, ensuite, pouvoir déterminer si vous êtes en face d’un bon ou mauvais crédit.
La location avec option d’achat
Souvent appelé Leasing et parfois location avec promesse de vente, le LOA est un contrat de crédit permettant de disposer d’un bien sans l’acheter en payant des loyers mensuels.
Donc, ici vous ne remboursez pas l’emprunt réalisé, mais vous louez le bien dont vous avez l’utilité. La différence avec un contrat de location classique c’est qu’à l’échéance du contrat, vous pourrez acheter le bien à un tarif « avantageux ».
Vous comprendrez que, à part quelques rares cas très particuliers, la location avec option d’achat n’est absolument pas interessante financièrement car, même si le bien vous est revendu à une valeur moindre, vous avez supporté pendant des mois le coût de la location de ce dernier !
Crédit à la consommation : Crédit renouvelable
Le crédit renouvelable est l’un des crédits les plus pernicieux et le plus dangereux.
Déjà, son nom est trompeur : crédit renouvelable laisse entendre qu’en cas de besoin vous pouvez le faire redémarrer, le « renouveler ». Or, son véritable nom est crédit permanent ! Je pense que vous commencer à saisir le problème.
Bien souvent il est associé à une carte de crédit (qui n’a rien à voir avec une carte de débit ! ) fournit par les grandes enseignes. En fait l’organisme – souvent une grande enseigne – fournissant ce type de crédit vous le présentera comme une réserve d’argent accessible vous permettant d’acheter ce que vous désirez dans l’enseigne. En ce sens cela fonctionne exactement comme votre compte en banque… sauf qu’il s’agit bien d’un crédit conso dans lequel la durée du prêt est, en quelque sorte, infinie !
En fait, le capital restant ne désemplit jamais car ce crédit se renouvelle à chaque remboursement ! En d’autres termes à chaque fois que vous remboursez, la réserve se remplit à nouveau et vous repartez pour un nouveau crédit !
Et avec ce type de crédit les taux d’intérêts augmentent drastiquement pouvant atteindre 15 à 20 % . C’est énorme ! A titre de comparaison, Imaginez si le Livret A était à 20 % : en y plaçant 1000 €, vous doubleriez votre capital tous les 4 ans !
En fait, ce n’est pas pour rien que le crédit renouvelable a pour surnom « crédit revolver », car il s’agit d’un véritable hold-up légal du consommateur.
Alors, si vous ne voulez pas devenir un de ses emprunteurs permanent, fuyez ce type de crédit comme la peste.
Un crédit gratuit ?
Contrairement à ce que l’on peut penser, il existe bel et bien des crédits gratuits. Mais attention, il ne s’agit pas « d’argent gratuit ». Même si ce type d’emprunt n’est pas assujettis à des intérêts, le remboursement du crédit , c’est à dire de la somme empruntés doit être faite.
Le crédit gratuit est, tout simplement, un crédit à la consommation à taux zéro, donc sans versement d’intérêts supplémentaires. En d’autres termes, si vous empruntez 10 000 €, vous devrez rembourser 10 000 €.
On va retrouver dans cette catégorie :
– Les prêts immobiliers à taux zéro (les PTZ), dont les intérêts sont financés par l’état. Ils concernent essentiellement les primo-acquérants pour l’acquisition, ou la rénovation d’une résidence principale.
– L’éco-prêt à taux zéro. Là aussi crédit gratuit dont les intérêts sont financés par l’état, il concerne la réalisation de travaux sur sa résidence principale ou dans un bien immobilier locatif, à condition que les travaux ont pour but d’améliorer les performances énergétiques du bien.
– Le crédit consommation gratuit, souvent proposé par les grandes enseignes ou par les concessionnaires automobile. Il faut néanmoins s’en méfier, car il pousse à la consommation !
Dans tous les cas, le crédit gratuit est un levier à ne pas négliger, surtout dans les cas d’un besoin de crédit d’investissement.
Le crédit : une mécanique à éviter
Si vous avez lu attentivement ce qui a été décrit, vous savez maintenant pourquoi il faut éviter les crédits à tout prix. Mais je vais quand même vous remettre l’élément à retenir :
« Emprunter de l’argent vous coûtera encore plus d’argent… »
Comment ?
Le mécanisme du crédit fait que vous « possédez » un peu plus d’argent au moment où vous le contractez mais vous vous appauvrissez sur la durée. Vous pouvez prendre le problème sous n’importe quel angle :
« Les seuls qui s’enrichissent dans le mécanisme du crédit sont ceux qui prêtent l’argent. Pas vous ! »
Les pires…
Les crédits de trésorerie et les crédits à la consommation sont ceux qui coûtent le plus cher.
Les découverts ont des coûts d’intérêts qui s’échelonnent de 5 à 10 %, voire plus.
Quand aux crédits à la consommation se sont les pires. D’une part, vous achetez quelque chose qui perd de la valeur à partir du moment où vous le possédez. D’autre part, vous vous appauvrissez sur la durée car vous payez ce bien de plus en plus cher par ce même crédit. Vous croyez faire une affaire mais au final c’est une très mauvaise affaire.
Et les encore plus pire…
Pour les cartes de fidélité, cela va même plus loin car en plus de perdre la possibilité de choisir l’enseigne où le magasin pour vos achats (vous irez à l’endroit ou vous avez votre carte sans faire jouer la concurrence), vous allez payer des intérêts ENORMES.
Et c’est sans parler des « assurances », au taux annuel prohibitif, souvent inclus dans le pack de la carte, que vous allez payer chaque mois sans diminuer la part de vos remboursements. De quoi continuer à dégrader votre budget à chaque utilisation…
Entre vous et moi, le crédit…
En fait, par le crédit et ses différentes formes, vous allez dépenser plus d’argent que ce vous possédez réellement, ce qui vous mettra, à plus ou moins long terme, dans une situation où vous aurez beau essayer de ne rien dépenser, l’argent s’envolera quand même.
Pour conserver un budget sain , il est donc important de ne pas avoir de crédit, prêt ou emprunt en cours. Et si, malheureusement vous êtes adepte du crédit , alors il est temps pour vous de les faire disparaître le plus rapidement possible.
C’est, d’ailleurs, ce que nous verrons dans la deuxième partie de cet article « Comment se sortir du crédit .
J’espère que panorama décrivant chaque type de crédit vous a été utile. Si c’est le cas, n’hésitez pas à le partager grâce aux boutons de réseaux sociaux ci -dessous. Et si vous souhaitez apporter votre point de vue ou vos précisions, la zone de commentaire ci-dessous est faites pour ça.
Lemasson
Merci pour cet article. Il existe tellement de types de crédit, qu’il est vite facile de se tromper. C’est vrai qu’il faut éviter au maximum d’avoir des crédits en cours, surtout si vous souhaitez réinvestir. Cependant, je trouve qu’emprunter aujourd’hui, ne coûte plus aussi cher qu’auparavant. Les taux de crédit ont énormément baissé.
123...Richesse
Oui, actuellement les taux de crédit sont au plus bas. Cependant, même avec un taux bas, un crédit reste un passif qui coute de l’argent. Donc, mis à part pour un investissement immobilier, une bonne maîtrise de son budget ne passe pas par l’utilisation du système du crédit. En tout cas, c’est le crédo de 1,2,3… Richesse 😉 Nous pensons que mieux vos d’abord gérer son budget, puis construire des actifs qui, eux, rapporteront suffisamment d’argent pour éviter l’utilisation d’un crédit… ou qui le compenseront. Par exemple, plutôt que de prendre un crédit auto, nous préférerons investir dans un actif qui permettra de générer du cash permettant, ensuite, d’acheter le bien… ou alors d’égaliser ce que nous coutera le crédit mensuellement. Celà demande plus de temps, mais au final, on ressort gagnant de la transaction.